Avec la PROCESSSIONNAIRE,chaque période de redoux est à REDOUTER
Si vous avez des nids bien formés, dodus, bien blancs et que les chenilles sont déjà à des stades larvaires bien avancé, le redoux peut-être synonyme de procession.
-Les températures clémentes synonymes de danger:
La processionnaire à besoin, en effet, de chaleur et de températures clémentes pour pouvoir se nourrir avec le moins d’interruption possible afin d’arriver au dernier stade larvaire, le stade V. A ce stade, elle a accumulée suffisamment d’énergie pour être prête à processionner. Les périodes de froid vont stopper ou retarder cette période et seules des tempéreturs inférieure ou égales à -15°c lui seront fatales. CEs températures sont de moins en moins présentes en France!
Le climat océanique est le premier concerné par des avancées spectaculaires du cycle larvaire. C’est grâce à ses automnes doux et ses hivers cléments qui permettent une alimentation sans trêve qu’elle pourra se nourrira sans interruption. Puis suivra le climat océanique dégradé.
Les zones montagnardes peuvent être, elles aussi concernées si les températures automnales et le début de l’hiver sont particulièrement doux. Dans ces zones, en effet, la processionnaire effectue son cycle sur 2 ans. Elle est plus mâture à l’automne (stade III ou IV) et donc apte à progresser plus vite au dernier stade larvaire. Seul le froid peut ralentir ou stopper sa croissance. Seules des températures inférieures à -15°c lui seront fatales; ces températures sont de moins en moins présentes en France!
-L’essence du conifère colonisé est a un gage de pérennité :
Si la nourriture est adaptée, et l’essence de conifère optimale pour sa croissance , si possible un pin noir d’Autriche, ou une de ses essence préférée ( Laricio, pin à crochets, etc.), alors la processionnaire va avancer plus vite dans son cycle de larve et arriver au stade V , stade de la procession.
-Le dernier stade larvaire synonyme de la procession :
Si vous avez pu les observer à l’extérieur du nid ou par transparence dans ce dernier et qu’elles mesurent environ 4 à 5 cm, alors elles seront bientôt prêtes pour la procession. Elles auront accumulé suffisamment d’énergie pour effectuer le parcours hors du nid, de jour vers le sol : la procession. Cette procession est une des étapes ultime pour arriver à se transformer au stade adulte, le papillon.
Il aura tout de même fallut préalablement quitter le stade aérien, le nid et l’arbre, pour descendre vers le sol et trouver le terrain adéquat pour s’enfouir et commencer la transformation en chrysalide. Depuis la procession jusqu’à l’accouplement et la ponte des papillons, la processionnaire ne s’alimentera plus !
C’est donc à un insecte particulièrement coriace et robuste que nous avons à faire, avec des capacités phénoménales d’adaptations au changement climatique! Si toutes les conditions précédemment citées sont réunies, alors la période des processions est à redouter!!!
Avec la PROCESSSIONNAIRE,chaque période de redoux est à REDOUTER
-Les températures clémentes synonymes de danger:
La processionnaire à besoin, en effet, de chaleur et de températures clémentes pour pouvoir se nourrir avec le moins d’interruption possible afin d’arriver au dernier stade larvaire, le stade V. A ce stade, elle a accumulée suffisamment d’énergie pour être prête à processionner. Les périodes de froid vont stopper ou retarder cette période et seules des tempéreturs inférieure ou égales à -15°c lui seront fatales. CEs températures sont de moins en moins présentes en France!
Le climat océanique est le premier concerné par des avancées spectaculaires du cycle larvaire. C’est grâce à ses automnes doux et ses hivers cléments qui permettent une alimentation sans trêve qu’elle pourra se nourrira sans interruption. Puis suivra le climat océanique dégradé.
Les zones montagnardes peuvent être, elles aussi concernées si les températures automnales et le début de l’hiver sont particulièrement doux. Dans ces zones, en effet, la processionnaire effectue son cycle sur 2 ans. Elle est plus mâture à l’automne (stade III ou IV) et donc apte à progresser plus vite au dernier stade larvaire. Seul le froid peut ralentir ou stopper sa croissance. Seules des températures inférieures à -15°c lui seront fatales; ces températures sont de moins en moins présentes en France!
-L’essence du conifère colonisé est a un gage de pérennité :
Si la nourriture est adaptée, et l’essence de conifère optimale pour sa croissance , si possible un pin noir d’Autriche, ou une de ses essence préférée ( Laricio, pin à crochets, etc.), alors la processionnaire va avancer plus vite dans son cycle de larve et arriver au stade V , stade de la procession.
-Le dernier stade larvaire synonyme de la procession :
Si vous avez pu les observer à l’extérieur du nid ou par transparence dans ce dernier et qu’elles mesurent environ 4 à 5 cm, alors elles seront bientôt prêtes pour la procession. Elles auront accumulé suffisamment d’énergie pour effectuer le parcours hors du nid, de jour vers le sol : la procession. Cette procession est une des étapes ultime pour arriver à se transformer au stade adulte, le papillon.
Il aura tout de même fallut préalablement quitter le stade aérien, le nid et l’arbre, pour descendre vers le sol et trouver le terrain adéquat pour s’enfouir et commencer la transformation en chrysalide. Depuis la procession jusqu’à l’accouplement et la ponte des papillons, la processionnaire ne s’alimentera plus !
C’est donc à un insecte particulièrement coriace et robuste que nous avons à faire, avec des capacités phénoménales d’adaptations au changement climatique! Si toutes les conditions précédemment citées sont réunies, alors la période des processions est à redouter!!!
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